1 volonté d’un meilleur moi, une certaine méfiance vis-à-vis de ma sincérité. La sincérité m’apparaît parfois comme un arrêt artifici

2 nt dès lors que la science proclame son autonomie vis-à-vis de la métaphysique. L’équilibre de notre esprit ne comporte pas l’égalit

3 s bon qu’un conteur laisse voir la moindre ironie vis-à-vis de ses personnages ; car il risque de les priver par là de cette autorit

4 ité n’exprime par là rien d’autre que sa méfiance vis-à-vis de la grâce et son optimisme vis-à-vis de la nature humaine, qui, selon

5 a méfiance vis-à-vis de la grâce et son optimisme vis-à-vis de la nature humaine, qui, selon cette vue, serait bonne, ou du moins me

6 aison d’être. Il n’y a pas de neutralité du monde vis-à-vis de Dieu — à cause du péché. La réalité visible du péché entraîne la cons

7 nissons à grands traits les réactions du bon sens vis-à-vis de ce programme du sens commun. ⁂ 1° « Parce que je suis un honnête homm

8 ise, cette avarice de tempérament, cette méfiance vis-à-vis de toute nouveauté réelle, ce besoin de contrôler la naissance des idées

9 partager.) Je lui reproche de manquer d’exigence vis-à-vis de l’homme ; de se borner à sa défense ; de ne pas voir que la vraie déf

10 ion permanente » qui doit être l’état du chrétien vis-à-vis de lui-même et de son passé. C’est le danger qui nous purifiera. « Toute

11 ellement chrétienne : « Quelle est votre attitude vis-à-vis de votre prochain ? Lui laissez-vous ce qui lui revient, ou l’en privez-

12 révisible. La seule liberté qui lui soit accordée vis-à-vis de la foi, c’est de la refuser. Comment dès lors l’utiliserait-il à son

13 ou la race vous importent assez peu. Vous jouez, vis-à-vis de ces divinités, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’adversai

14 e, elle nous charge d’une nouvelle responsabilité vis-à-vis de la Nature. 12. Mais on peut dire que la bataille qu’imaginait ce cap

15 on, et de celles, philosophiques, de Kierkegaard, vis-à-vis de la dialectique hégélienne. Cette opposition me paraît la plus profond

16 ou la race vous importent assez peu. Vous jouez, vis-à-vis de ces divinités, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’adversai

17 quelques thèses rapides la position personnaliste vis-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes philosophes marxistes tiennent

18 ié au succès de son effort. Pas d’ironie possible vis-à-vis de son œuvre. Si tous les hommes n’arrivent pas au bonheur moyen, tout s

19 révisible. La seule liberté qui lui soit accordée vis-à-vis de la foi, c’est de la refuser. Comment dès lors l’utiliserait-il à son

20 ou la race vous importent assez peu. Vous jouez, vis-à-vis de ces divinités, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’adversai

21 quelques thèses rapides la position personnaliste vis-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes philosophes marxistes tiennent

22 ié au succès de son effort. Pas d’ironie possible vis-à-vis de son œuvre. Si tous les hommes n’arrivent pas au bonheur moyen, tout s

23 révisible. La seule liberté qui lui soit accordée vis-à-vis de la foi, c’est de la refuser. Comment dès lors l’utiliserait-il à son

24 moderne féodalité des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supérieurs, que la moderne féodalité des

25 en tant qu’il est actif, créateur et responsable vis-à-vis de la communauté. Elle n’est pas une obligation imposée par l’État ou la

26 t d’en parler… À mon âge, j’en ai même le devoir, vis-à-vis de cette jeunesse ! J’étais un homme religieux, et c’est cela que je sui

27 rien, cette même désinvolture tempérée de respect vis-à-vis de ses propres affaires, et de la chose publique, et de l’Église… Jusqu’

28 nous. Il se peut que mon « injustice » déclarée, vis-à-vis de Nietzsche, rende justice à ce que Nietzsche a refusé d’être ; et que,

29 u’on adopte la position des catholiques eux-mêmes vis-à-vis de leurs grands docteurs, on est obligé de constater que cette objection

30 moderne féodalité des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supérieurs, que la moderne féodalité des

31 en tant qu’il est actif, créateur et responsable vis-à-vis de la communauté. Elle n’est pas une obligation imposée par l’État ou la

32 ise par L’Ordre nouveau , est pleine de défiance vis-à-vis de la rationalisation… » ! !) Mais dès que M. Friedmann passe de la desc

33 étique ne repose pas sur une prétendue « défiance vis-à-vis de la rationalisation », mais sur un réel dégoût pour l’idéal du servage

34 re espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, notre devoir n’est pas de railler des naïvetés plus

35 ire les bases…) Quant à la position d’Henri Petit vis-à-vis de la foi, je m’excuse de la résumer en trois formules, mais autrement,

36 ail. Ce faisant elle adopte une attitude nouvelle vis-à-vis de la culture. Elle transforme ce qui était ses outils en propriété assu

37 re espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, notre devoir n’est pas de railler des naïvetés plus

38 lairement qu’une troisième attitude est possible, vis-à-vis de la réalité. Et cela se comprend : il y a si peu de tons purs dans le

39 onne99. Face à face avec le prochain, responsable vis-à-vis de cette apparition concrète, et élémentaire de la communauté, je ne sui

40 ail. Ce faisant elle adopte une attitude nouvelle vis-à-vis de la culture. Elle transforme ce qui était ses outils en propriété assu

41 re espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, notre devoir n’est pas de railler des naïvetés plus

42 nne102. Face à face avec le prochain, responsable vis-à-vis de cette apparition concrète et élémentaire de la communauté, je ne suis

43 Freud. M. Béguin, d’ailleurs, prend ses distances vis-à-vis de la psychanalyse. Les interprétations de la vie onirique, qu’il nous p

44 n à faire qu’à subir le martyre ? Ou qu’à revêtir vis-à-vis de l’État une attitude d’objecteurs de conscience ? N’avons-nous rien qu

45 accomplit enfin dans l’œuvre d’art, se comportant vis-à-vis de lui-même comme il fait vis-à-vis d’un « sujet ». Mais, tout inverse,

46 lus indifférente à la vie politique, plus passive vis-à-vis de l’État, plus lâche devant le fait accompli — et toujours accompli par

47 lus indifférente à la vie politique, plus passive vis-à-vis de l’État, plus lâche devant le fait accompli — et toujours accompli par

48 dans ce sens que j’avais essayé d’être « juste » vis-à-vis de l’Allemagne dans un petit ouvrage paru l’automne dernier. Or, voici c

49 it s’en évader. Elle nous rend enfin responsables vis-à-vis de notre prochain, et c’est à quoi l’on peut reconnaître la légitimité d

50 son). On retrouve donc la situation du troubadour vis-à-vis de l’amour des êtres. Certes : « la pureté de l’amour courtois sépare le

51 , cela seul permet de constituer un bloc puissant vis-à-vis de l’extérieur ; un bloc qui prend l’allure d’une armée. Le vice d’un te

52 étroitement dépendante de l’attitude qu’il prend vis-à-vis de l’Église et du fait religieux en général. Un régime est totalitaire l

53 son). On retrouve donc la situation du troubadour vis-à-vis de l’amour des êtres. Certes : « la pureté de l’amour courtois sépare le

54 celui qui se sait à la fois libre d’être soi-même vis-à-vis de l’ensemble, et engagé vis-à-vis de cet ensemble par l’exercice d’une

55 ’être soi-même vis-à-vis de l’ensemble, et engagé vis-à-vis de cet ensemble par l’exercice d’une vocation qui le relie à ses prochai

56 ngtemps, et alors c’en sera fait de noire liberté vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance nationale. Il ne suffi

57 comme des charges, dont nous sommes responsables vis-à-vis de la communauté européenne. Je voudrais marquer d’une devise ce point c

58 rière. Quand on parle d’une vocation de la Suisse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui crient à l’utopie. Beaucoup de gens

59 s qui nous invitent à prendre une attitude active vis-à-vis de l’Europe. Ce sont les faits qui rendent insuffisantes nos justificati

60 ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vis-à-vis de ses propres ouvrages ? Neutralisera-t-il son action en montrant lui-m

61 ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vis-à-vis de sa propre nation ? Le sort de la démocratie dépend de la solution qui

62 olu et dans l’abstrait. Car tout dépend de ceci : vis-à-vis de quoi, ou de Qui, est-on tiède, est-on neutre ? Si c’est vis-à-vis du

63 ieu. « Je vous vomirai », dit le Christ. Si c’est vis-à-vis de la guerre des autres que l’on reste tiède, cette neutralité peut être

64 raisons de la désaffection de la classe ouvrière vis-à-vis de l’Église depuis plus d’un siècle : elle ne s’y sent pas tout à fait c

65 olu et dans l’abstrait. Car tout dépend de ceci : vis-à-vis de quoi, ou de qui, est-on tiède, est-on neutre ? Si c’est vis-à-vis du

66 eu. « Je vous vomirai », dit le Christ. Si c’est vis-à-vis de la guerre des autres que l’on reste tiède, cette neutralité peut être

67 sent notre époque et ses métamorphoses, a montré, vis-à-vis de notre mouvement, soit de l’objectivité, soit de la sympathie, certain

68 , cela seul permet de constituer un bloc puissant vis-à-vis de l’extérieur ; un bloc qui prend l’allure d’une armée. Le vice d’un te

69 étroitement dépendante de l’attitude qu’il prend vis-à-vis de l’Église et du fait religieux en général. Un régime est totalitaire l

70 celui qui se sait à la fois libre d’être soi-même vis-à-vis de l’ensemble, et engagé vis-à-vis de cet ensemble, par l’exercice d’une

71 ’être soi-même vis-à-vis de l’ensemble, et engagé vis-à-vis de cet ensemble, par l’exercice d’une vocation qui le relie à ses procha

72 depuis les temps du Saint-Empire : notre mission vis-à-vis de l’Europe. Nous sommes chargés de la défendre contre elle-même, de gar

73 ngtemps, et alors c’en sera fait de notre liberté vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance nationale. Il ne suffi

74 comme les charges, dont nous sommes responsables vis-à-vis de la communauté européenne. Je voudrais marquer d’une devise ce point

75 isses. Quand on parle d’une vocation de la Suisse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui crient à l’utopie. Eh bien, j’estime

76 s qui nous invitent à prendre une attitude active vis-à-vis de l’Europe. Voilà ce qui distingue extérieurement une vocation d’une ut

77 olu et dans l’abstrait. Car tout dépend de ceci : vis-à-vis de quoi, ou de qui, est-on tiède, est-on neutre ? Si c’est vis-à-vis du

78 ieu. « Je vous vomirai », dit le Christ. Si c’est vis-à-vis de la guerre des autres que l’on reste tiède, cette neutralité peut être

79 depuis les temps du Saint-Empire : notre mission vis-à-vis de l’Europe. Nous sommes chargés de la défendre contre elle-même, de gar

80 , cela seul permet de constituer un bloc puissant vis-à-vis de l’extérieur ; un bloc qui prend l’allure d’une armée. Le vice d’un te

81 étroitement dépendante de l’attitude qu’il prend vis-à-vis de l’Église et du fait religieux en général. Un régime est totalitaire l

82 éresser. Une attitude aussi profondément ambiguë, vis-à-vis de la gloire, n’est pas sans entretenir les plus curieux malentendus ent

83 adopter une attitude d’accueillante impartialité vis-à-vis de l’individu. « Les autres forment l’homme, je le récite », semble-t-el

84 ait s’en évader. Elle nous rend enfin responsable vis-à-vis de notre prochain, et c’est à quoi l’on peut reconnaître la légitimité d

85 la même raison, cet homme-là devient responsable vis-à-vis de la communauté où l’engage l’exercice de sa tâche. Cette conception pe

86 lettre, dans sa forme, est « nettement péjorative vis-à-vis de l’armée, de la cavalerie en particulier », bref que je suis un « élém

87 rriérée — académique — dans les arts sacrés comme vis-à-vis de la culture vivante, laissant celle-ci désorientée. Il s’agit que nos

88 nçais le considère comme allant de soi, j’entends vis-à-vis de l’État. Quand vous entrez en Amérique, on vous demande de remplir des

89 flit entre la liberté individuelle et les devoirs vis-à-vis de la collectivité. C’est le même Dieu qui, par la vocation qu’il envoie

90 té internationale des Soviets, de cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la vie humaine en gros et en détail, de

91 ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vis-à-vis de ses propres ouvrages ? Neutralisera-t-il son action en montrant lui-m

92 ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vis-à-vis de sa propre nation ? Le sort de la démocratie dépend de la solution qui

93 ue moi, je ne suis rien, je n’ai que mon prestige vis-à-vis de mon peuple ! Je ne suis qu’un petit homme du commun ! si je perds mon

94 ont la simplicité des ducs. 14 octobre 1943 Vis-à-vis de la richesse des autres, conserver la même liberté que dans sa propre

95 lettre, dans sa forme, est « nettement péjorative vis-à-vis de l’armée, de la cavalerie en particulier » et que « les manieurs de cr

96 lettre, dans sa forme, est « nettement péjorative vis-à-vis de l’armée, de la cavalerie en particulier » et que « les manieurs de cr

97 accomplit enfin dans l’œuvre d’art, se comportant vis-à-vis de lui-même comme il fait vis-à-vis d’un « sujet ». Mais, tout inverse,

98 lus indifférente à la vie politique, plus passive vis-à-vis de l’État, plus lâche devant le fait accompli — et toujours accompli par

99 dans ce sens que j’avais essayé d’être « juste » vis-à-vis de l’Allemagne dans un petit ouvrage paru l’automne dernier. Or, voici c

100 ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vis-à-vis de ses propres ouvrages ? Neutralisera-t-il son action en montrant lui-m

101 ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vis-à-vis de sa propre nation ? Le sort de la démocratie dépend de la solution qui

102 ue moi, je ne suis rien, je n’ai que mon prestige vis-à-vis de mon peuple ! Je ne suis qu’un petit homme du commun ! si je perds mon

103 simplicité des vrais ducs. 14 octobre 1943 Vis-à-vis de la richesse des autres, conserver la même liberté que dans sa propre

104 e point écrit dans sa Constitution ? Son attitude vis-à-vis de la passion est peut-être plus saine que la nôtre. En bref, il n’aime

105 l’individu isolé, dégagé de toute responsabilité vis-à-vis de la communauté. Car dans ce cas, notre jardin nous suffirait. Mais nou

106 que l’homme est un être doublement responsable : vis-à-vis de sa vocation propre et unique, d’une part, et d’autre part vis-à-vis d

107 ion propre et unique, d’une part, et d’autre part vis-à-vis de la communauté au sein de laquelle sa vocation s’exerce. Aux individua

108 éresser. Une attitude aussi profondément ambiguë, vis-à-vis de la gloire, n’est pas sans entretenir les plus curieux malentendus en

109 nation unifiée de la sorte, qui se conduit alors vis-à-vis de l’Europe comme un groupe absolutisé, comme un vulgaire individu dont

110 raser les partis à l’intérieur, puis se comporter vis-à-vis de l’Occident, en tant que nation, comme le parti le plus irréductible.

111 et séculiers que nous proposent l’URSS et les US. Vis-à-vis de ces mystiques et de ces idéaux, c’est notre sens d’un absolu qui dépa

112 rriérée — académique — dans les arts sacrés comme vis-à-vis de la culture vivante, laissant celle-ci désorientée. Il s’agit que nos

113 e point écrit dans sa Constitution ? Son attitude vis-à-vis de la passion est peut-être plus saine que la nôtre. En bref, il n’aime

114 e, et de nos mœurs. Quant à l’attitude américaine vis-à-vis de la question sexuelle — mais c’est bien à cela que vous pensiez — elle

115 nçais le considère comme allant de soi, j’entends vis-à-vis de l’État. Quand vous entrez en Amérique, on vous demande de remplir des

116 té internationale des Soviets, de cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la vie humaine en gros et en détail, de

117 nation unifiée de la sorte, qui se conduit alors vis-à-vis de l’Europe comme un groupe absolutisé, comme un vulgaire individu dont

118 raser les partis à l’intérieur, puis se comporter vis-à-vis de l’Occident, en tant que nation, comme le parti le plus irréductible.

119 t séculiers que nous proposent l’URSS et les USA. Vis-à-vis de ces mystiques et de ces idéaux, c’est notre sens d’un absolu qui dépa

120 l’individu isolé, dégagé de toute responsabilité vis-à-vis de la communauté. Car, dans ce cas, nous serions restés chez nous. Mais

121 que l’homme est un être doublement responsable : vis-à-vis de sa vocation propre et unique, d’une part, et, d’autre part, vis-à-vis

122 n propre et unique, d’une part, et, d’autre part, vis-à-vis de la communauté au sein de laquelle sa vocation s’exerce. Aux individua

123 uines, par l’occupation russe, et dans les camps. Vis-à-vis de l’Amérique, notre attitude doit être, évidemment, bien différente. No

124 turelle ou, pour mieux dire, son unité d’attitude vis-à-vis de la culture, se nourrisse de diversités. En effet, élargir et approfon

125 visage ; mais aussi responsable de cette vocation vis-à-vis de ses prochains et de la société ; c’est donc un homme engagé dans une

126 vant entre les droits particuliers et les devoirs vis-à-vis de l’ensemble, entre l’un pour tous et le tous pour un. 5. Cette observ

127 e « réside dans la dépendance de l’administration vis-à-vis de la justice »9. Les premières légendes nationales de la Suisse décrive

128 qui n’avaient de commun qu’un état-major fédéral. Vis-à-vis de l’étranger, elle était impuissante. Oui, vraiment, cette Suisse « re

129 ues. Il en résulte que la souveraineté nationale, vis-à-vis de l’extérieur, n’a plus d’autre existence que celle d’une illusion pseu

130 représentant de Dieu. Constantin se montra humble vis-à-vis de l’Église, mais ses successeurs, qui avaient adopté l’arianisme, puisè

131 majorité de nos contemporains sont censés adopter vis-à-vis de l’érotisme m’indiffèrent, et j’ai même quelque répugnance à y songer.

132 ’Amour et l’Occident , Comme toi-même ), adopte, vis-à-vis de l’érotisme, une attitude plus nuancée. »

133 l’individu isolé, dégagé de toute responsabilité vis-à-vis de la communauté. Car, dans ce cas, nous serions restés chez nous. Mais

134 que l’homme est un être doublement responsable : vis-à-vis de sa vocation propre et unique d’une part, et, d’autre part, vis-à-vis

135 on propre et unique d’une part, et, d’autre part, vis-à-vis de la communauté au sein de laquelle sa vocation s’exerce. Aux individua

136 issant l’entropie de l’ensemble ; — d’autre part, vis-à-vis de l’extérieur, d’éviter que soit reportée aux frontières de l’union la

137 es, régions associées ou États, sont responsables vis-à-vis de leurs citoyens de maintenir et développer leur autonomie, leur physio

138 rriérée — académique — dans les arts sacrés comme vis-à-vis de la culture vivante, laissant celle-ci désorientée. Il s’agit que nos

139 n à faire qu’à subir le martyre ? Ou qu’à revêtir vis-à-vis de l’État une attitude d’objecteurs de conscience ? N’avons-nous rien qu